Explorar los documents (6960 total)

aioli_vignette.jpg
L'Aiòli. - Annado 06, n°209 (Outobre 1896)
Mistral, Frédéric (1830-1914)
Deux-cent-neuvième numéro de l'Aiòli.
aioli_vignette.jpg
L'Aiòli. - Annado 06, n°210 (Outobre 1896)
Mistral, Frédéric (1830-1914)
Deux-cent-dixième numéro de l'Aiòli.
aioli_vignette.jpg
L'Aiòli. - Annado 06, n°211 (Nouvèmbre 1896)
Mistral, Frédéric (1830-1914)
Deux-cent-onzième numéro de l'Aiòli.
aioli_vignette.jpg
L'Aiòli. - Annado 06, n°212 (Nouvèmbre 1896)
Mistral, Frédéric (1830-1914)
Deux-cent-douzième numéro de l'Aiòli.
aioli_vignette.jpg
L'Aiòli. - Annado 06, n°213 (Nouvèmbre 1896)
Mistral, Frédéric (1830-1914)
Deux-cent-treizième numéro de l'Aiòli.
aioli_vignette.jpg
L'Aiòli. - Annado 06, n°214 (Decèmbre 1896)
Mistral, Frédéric (1830-1914)
Deux-cent-quatorzième numéro de l'Aiòli.
aioli_vignette.jpg
L'Aiòli. - Annado 06, n°215 (Desèmbre 1896)
Mistral, Frédéric (1830-1914)
Deux-cent-quinzième numéro de l'Aiòli.
aioli_vignette.jpg
L'Aiòli. - Annado 06, n°216 (Desèmbre 1896)
Mistral, Frédéric (1830-1914)
Deux-cent-seizième numéro de l'Aiòli.
FRB340325101_CR-B-09-04_0001.jpg
Le testament d'un juif de la ville de Carpentras
Texte anonyme du XVIIIe siècle en occitan. Daté d'aprés "Essai sur l'histoire littéraire des patois du Midi de la France au XVIIIe s" par Jean-Baptiste Noulet, 1877, n° 348
mots74-small286.jpg
Le Félibrige : un incertain nationalisme linguistique / Philippe Martel
Martel, Philippe

Introduction de Philippe Martel

"La langue d’oc pour étendard : ce titre de la synthèse la plus récente sur l’histoire du Félibrige dit assez le rôle central tenu par la langue dans le discours de la « renaissance » d’oc au 19e siècle. Et de fait, le Félibrige des origines, en 1854, c’est d’abord un petit groupe de poètes de la région d’Avignon, unis par leur désir d’écrire en « provençal ». Et ce n’est qu’assez progressivement que ce petit groupe s’élargira au point d’essaimer dans la trentaine de départements de l’aire historique de la langue d’oc, tout en développant un discours revendicatif.

Mais que revendique-t-on ? Les félibres se donnent-ils pour seule tâche la défense de leur langue ? Ou bien passent-ils de la défense de la langue à celle du pays où elle se parle, et dès lors, cette démarche les amène-t-elle à remettre en cause l’appartenance de ce pays à l’État français ? Bref, passe-t-on, selon un schéma observable ailleurs, d’un mouvement purement culturel à un mouvement de plus en plus radical aboutissant à la naissance d’un authentique nationalisme ?"


Consulter l'édition électronique de l'article (sur le site Revues.org) : http://mots.revues.org/4273
sus 696